Il est beau mon slogan, elle est fraiche ma baseline
En ouvrant mon Twitter ce matin, j’ai eu la chance de voir apparaitre une image qui m’a interpellé. J’ai repensé à cet article sur les logo moches qui avaient fleuri entre 2010 et 2012.

Un bel exemple de lapalissade ou truisme ! Merci René Cotton
Bref, le pourvoir des mots… on y revient toujours en communication. Les agences de pub manient avec succès l’art du slogan pour vous faire adhérer aux valeurs d’une marque. A côté d’un beau logo (ou parfois pas beau), on se creuse la tête longtemps pour trouver la punchline qui rendra la marque incontournable pour de bonnes ou de mauvaises raisons.
Souvenez-vous de quelques slogans douteux
« Castorama, c’est castoche ! » ou « Si juvabien juvamine !« , où on tente ici un effet de style avec un néologisme identifié à la marque.
« Opel, nous vivons l’automobile !« , genre on avait pas d’idée alors comme on fait des voitures ça veut dire qu’on aime ça non ?
Quelques beaux exemples aussi dans la communication surréaliste de certains régnons françaises
Tout miser sur un bretzel et la passion des français pour la nourriture (Alsace) ou surfer sur le coté coquin et trouver la jouissance ultime (Gironde).
A l’heure de la communication moderne, dopée par la puissance des réseaux sociaux, j’invite les créatifs et leurs clients à se souvenir des exemples ratés de refontes de logotypes. L’abus de concepts hasardeux peut entrainer une catastrophe version 2.0.
A bon entendeur
A lire ou relire, l’article sur la tendance moche des logotypes